Les deux premiers tomes nous avaient plu par l’abondance des revirements de situation. Ici, l’auteur se paie le luxe de sonder plus profondément ses personnages. Donc, moins de rebondissements mais un intérêt toujours aussi soutenu puisque l’ennemi ici est puissant : les services secrets suédois. Plus roman d’espionnage que polar, l’intrigue est bien ficelée : l’auteur y décrit ce qu’il peut y avoir de plus noir dans l’être humain et dans la société qu’il a engendrée. Heureusement, il nous laisse sur une note d’espoir.
Larsson Stieg, La Reine dans le palais des courants d'air, Millénium 3, Actes Sud, 2006, 710 p.
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