***½ Le Tombeau d’hiver, d’Anne Michaels

L’auteure a choisi de mêler l’histoire d’un couple à la grande Histoire. Ainsi suivons-nous Jeanne et Avery du désert nubien au nord de l’Ontario puis à Varsovie. Il y est beaucoup question de pertes : perte du territoire, de ses racines, de ses repères; perte des être chers, de son passé, de ses amours.

Le ton est souvent poétique, parfois didactique, la plupart du temps grave. Car les amants se questionnent (trop?) sur l’empreinte de l’homme qui construit et déconstruit. Un livre qu’on lit lentement, pour le savourer.

Michaels Anne, Le Tombeau d’hiver, Éd. Alto, 2010, 425 p.

***½ Le Tombeau d’hiver, d’Anne Michaels

L’auteure a choisi de mêler l’histoire d’un couple à la grande Histoire. Ainsi suivons-nous Jeanne et Avery du désert nubien au nord de l’Ontario puis à Varsovie. Il y est beaucoup question de pertes : perte du territoire, de ses racines, de ses repères; perte des être chers, de son passé, de ses amours.

Le ton est souvent poétique, parfois didactique, la plupart du temps grave. Car les amants se questionnent (trop?) sur l’empreinte de l’homme qui construit et déconstruit. Un livre qu’on lit lentement, pour le savourer.

Michaels Anne, Le Tombeau d’hiver, Éd. Alto, 2010, 425 p.