Il faut qu’on parle de Kevin est un livre coup de poing. Dans les lettres adressées au père dont elle est séparée, Eva parle de l’enfant à venir, des premiers mois, des premières années… jusqu’à ce JEUDI-LÀ. Eva ne cherche pas à se justifier ni à culpabiliser l’autre : elle veut juste comprendre pourquoi Kevin a posé ce GESTE-LÀ. L’auteure sait faire monter la tension dramatique tout en posant les nécessaires questions sur les responsabilités individuelle, parentale et collective.
Shriver, Lionel. Il faut qu’on parle de Kevin, Belfond, 2006, 480p.
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