Florence n’aime pas les écrivains et encore moins leurs livres. Elle n’aime pas non plus les chiens, l’alcool, les vieux, le plaisir, l’amour. Elle n’aime que Zéno, son associé, mais elle ne l’avouerait jamais. Zéno, par contre, adore les écrivains, et surtout Pierre Laliberté, ce romancier mythique dont personne n’a jamais aperçu le visage. Florence part donc à la recherche de ce fameux écrivain qui pille la vie des autres pour élaborer ses intrigues.
Construit à la manière d’un polar, le roman est avant tout un hommage à la littérature et aux écrivains. C’est aussi une réflexion sur le nécessaire abandon devant la beauté, que ce soit un livre, une toile ou un ciel étoilé.
Proulx, Monique. Le cœur est un muscle involontaire, Boréal, 2002, 400p.
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