Troisième tome d’une trilogie (ce n’est pas nécessaire d’avoir lu les deux premiers tomes pour apprécier), le roman Les Choses terrestres séduit d’abord par le parti-pris de l’auteur de ne garder que le côté positif de Il n’y a donc dans ce roman ni mesquinerie, ni petitesse, si ce n’est celle de Dieu, ce sans-cœur qui ne répond pas aux suppliques. Et on se laisse séduire par ces bons sentiments (c’est si rare!) et par une langue métaphorique tout à fait délicieuse.
Beauchemin, Jean-François. Les Choses terrestres, Éd. Québec Amérique, 2001, 281 p.
