Harry se réfugie à Paris pour échapper à la justice de son pays : une aventure avec une de ses étudiantes a tourné à
J’ai été conquise aussi par ce roman aux allures de polar presque jusqu’à la fin. Le rythme, le ton, le décor, les personnages, les revirements de situation rendent la lecture très agréable jusqu’au moment où on se dit que non, vraiment, là l’auteur exagère. Dommage!
Kennedy, Douglas. La femme du Ve, Belfond, 2007, 378 p.
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