Pour Ashley Freeman, il s’agissait d’une aventure d’un soir. Comment aurait-elle pu deviner que Michael O'Connell allait faire de sa vie un enfer? Que face à cet être obsédé, impitoyable, à l’intelligence vive, elle avait bien peu de chances? Car la force de son tortionnaire, c’était sa capacité à instiller le peur. Et il aimait cela. Une fois de plus, John Katzenbach nous offre un thriller haletant.
Chaque chapitre se termine par un dialogue entre une femme dont on ne connaîtra l’identité qu’à la toute fin et l’écrivain qui collige les informations. Le procédé, bien qu’agaçant, permet de prendre un certain recul et de poser certaines questions morales intéressantes.
Katzenbach, John. Faux coupable, Presse de la cité, 2006, 474p.
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