À la demande de sa fille écrivaine, Dounia, soixante quinze ans, raconte sa vie. La démarche est difficile car elle a appris très jeune à se taire. Elle livre pourtant ses réflexions sur la famille, le couple, l’exil, le déracinement, la solitude, la vieillesse, avec simplicité et sincérité. Vers la fin du roman, elle dévoile au lecteur ce qu’elle cache à sa fille. Ces pages très fortes, poignantes, apportent un nouvel éclairage et rendent ce premier roman émouvant.Autres commentaires de lecteurs:
. de Claude Trudel
. de Lise Brodeur
Farhoud, Abla. Le Bonheur a la queue glissante, Éd. Typo, 2004, 172 p.
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