Septembre 1969. On retrouve Léon, entrant en cinquième année et redoutant par-dessus tout les sévices d’un trio infernal qui s'est juré de lui casser la gueule. Comble de malheur, sa belle Clarence l’ignore délibérément.
Ce deuxième roman est moins sombre puisque les plus grandes frasques de Léon sont de sécher ses cours et de voler des billets de 20$ dans le sac à main de sa mère revenue. Mais qu’un enfant qui avoue ne pas savoir lire puisse citer la Guerre de Cent Ans, la Convention de Genève ou les nappes d’huile sur l’Adriatique laisse pantois. C’est beaucoup de culture pour un illettré!
Hébert, Bruno. Alice court avec René, Montréal, Les Éditions du Boréal, 2001, 180 p.
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